Publié le 12 octobre 2023
–
Mis à jour le 6 novembre 2023
le 13 novembre 2023
Site Rachais
De 15h à 18h - salle 204
Piste d'études
Axe de recherche "Intermédialité"
Coordination : Muriel Joubert - Frédéric Montégu
Communications de : Muriel Joubert, Frédéric Montégu, et Dario Marchiori.
15 h. Muriel Joubert : Quand la musique déborde…
Si les éléments qui constituent le langage musical n’ont cessé d’élargir les horizons sonores, au fil des siècles, comme voulant transgresser les usages, les XXe et XXIe siècles sont représentatifs de débordements multiples. L’intervention proposera un panorama des différents débordements possibles en musique – langage, écriture, son, genre, plurimédialité… – qui ont pu remettre en question l’objet musical traditionnellement admis.
15 h 45. Frédéric Montégu : Transgression des normes. Du débordement à l’intermédialité, au regard des arts plastiques (XXe – XXIe siècles).
Les arts plastiques des XXe et XXIe siècles vont radicalement dé-border, déconstruire les normes, les règles, qu’elles soient spatiales, institutionnelles, esthétiques ou éthiques. Les arts modernes et contemporains s’emploieront à sortir des limites, des contraintes permises ou admises. Le cadre physique ou métaphorique est appelé à être dépassé, débordé (au-delà du bord), « déterritorialisé ». Ce qui rejoint le thème de l’intermédialité(s) dans le sens où les arts contemporains débordent souvent vers d’autres médiums, ou pouvant être considérés comme étant multimédia(s).
16h45. Dario Marchiori : Une notion qui déborde : les débordements au cinéma, les débordements du cinéma.
Art de l’image et du son, et de leurs relations, le cinéma permet d’emblée de penser le débordement par les caractéristiques de son dispositif, par le cadrage comme bord susceptible d’être débordé. S’il peut s’attaquer à l’écran comme limite de l’image, le débordement peut également se produire de l’intérieur, au cœur de l’image, par exemple grâce aux puissances du « troisième sens » (Barthes) ou du figural (Lyotard). Situés sur un plan critique, théorique ou historique, mais également sur le plan de la réception de l’œuvre, les débordements peuvent être perceptifs, émotionnels ou cognitifs ; typologiques, génériques ou médiatiques ; et encore institutionnels, politiques, moraux, esthétiques… Parmi ces options, l’intervention gardera une place abordera plus particulièrement les débordements intermédiatiques.
Coordination : Muriel Joubert - Frédéric Montégu
Communications de : Muriel Joubert, Frédéric Montégu, et Dario Marchiori.
15 h. Muriel Joubert : Quand la musique déborde…
Si les éléments qui constituent le langage musical n’ont cessé d’élargir les horizons sonores, au fil des siècles, comme voulant transgresser les usages, les XXe et XXIe siècles sont représentatifs de débordements multiples. L’intervention proposera un panorama des différents débordements possibles en musique – langage, écriture, son, genre, plurimédialité… – qui ont pu remettre en question l’objet musical traditionnellement admis.
15 h 45. Frédéric Montégu : Transgression des normes. Du débordement à l’intermédialité, au regard des arts plastiques (XXe – XXIe siècles).
Les arts plastiques des XXe et XXIe siècles vont radicalement dé-border, déconstruire les normes, les règles, qu’elles soient spatiales, institutionnelles, esthétiques ou éthiques. Les arts modernes et contemporains s’emploieront à sortir des limites, des contraintes permises ou admises. Le cadre physique ou métaphorique est appelé à être dépassé, débordé (au-delà du bord), « déterritorialisé ». Ce qui rejoint le thème de l’intermédialité(s) dans le sens où les arts contemporains débordent souvent vers d’autres médiums, ou pouvant être considérés comme étant multimédia(s).
16h45. Dario Marchiori : Une notion qui déborde : les débordements au cinéma, les débordements du cinéma.
Art de l’image et du son, et de leurs relations, le cinéma permet d’emblée de penser le débordement par les caractéristiques de son dispositif, par le cadrage comme bord susceptible d’être débordé. S’il peut s’attaquer à l’écran comme limite de l’image, le débordement peut également se produire de l’intérieur, au cœur de l’image, par exemple grâce aux puissances du « troisième sens » (Barthes) ou du figural (Lyotard). Situés sur un plan critique, théorique ou historique, mais également sur le plan de la réception de l’œuvre, les débordements peuvent être perceptifs, émotionnels ou cognitifs ; typologiques, génériques ou médiatiques ; et encore institutionnels, politiques, moraux, esthétiques… Parmi ces options, l’intervention gardera une place abordera plus particulièrement les débordements intermédiatiques.
Informations pratiques
Lieu(x)
Site Rachais
Salle 204
3, rue Rachais
Lyon 3e
3, rue Rachais
Lyon 3e